En filmant le paysage canadien, et en attachant astucieusement les Polaroïds dans les meilleurs emplacements de Paris, Iain Baxter a présenté son
art conceptuel pendant longtemps comme il le présente dans sa vidéo intitulée: L’Introduction de Iain Baxter. À l'âge de
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En filmant le paysage canadien, et en attachant astucieusement les Polaroïds dans les meilleurs emplacements de Paris, Iain Baxter a présenté son
art conceptuel pendant longtemps comme il le présente dans sa vidéo intitulée: L’Introduction de Iain Baxter. À l'âge de dix-huit, il a eu une révélation alors qu'il était à Saskatchewan. Iain Baxter avait subi une fracture du cou lors d'un accident de voiture. Sa blessure lui a fait comprendre que la vie était précaire. En conséquence, il a continué à étudier l'écologie et la zoologie et a été inspiré par l'intérêt que l'artiste Morris Graves de Seattle, avait dans le bouddhisme zen. Influencé par la philosophie japonaise, Iain Baxter a voyagé à Kyoto en 1961 pour organiser son spectacle solo appelé: Vernis et collage associé à l’aquarelle. Après avoir obtenu son diplômé de master en Beaux-arts à l'Université de Washington, Iain Baxter a demeuré à Vancouver. Grâce à la lentille d'un zoologiste et écologiste décontracté, l'
'artiste conceptuel a pris de nombreuses photos de cette ville. Baxter a également enseigné l'artiste Stan Douglas et a employé d'autres tels que Ian Wallace et Roy Arden. Le travail de Iain, Standard 24, est très important parce qu'il a été créé au début de sa carrière d'enseignant et véhicule, selon ses termes, "l'absurdité du moment où vous enseignez de l'art puisque l'art a un moyen à sa propre façon de se produire à travers vous". Il explique par la suite comment la norme 24 reflète son sens de l'humour qui est un humour qui "examine les questions". Une autre de ses pièces est appelée Zero Emissions. Iain a réalisé cet art en se basant sur un problème d'écologie longuement discuté. Le travail se compose de cache-nez et de taxidermie "pour faire une déclaration sur la scène mondiale". Des peintures jusqu'aux plastiques, Iain utilise divers supports. Avec ses propres mots, son favori est, "l'information au sens large". Son éducation lui a fourni un aperçu pour se déplacer à travers tous les différents domaines de l'art qu'il considère comme une information.
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