L'utilisation de la commande de l'ordinateur "Oui pour tout" comme motif, l'œuvre de Fleury présente le public avec une dénonciation de la consommation de genre et de l'obsession superficielle avec des produits de luxe. Puisant son inspiration évidente des artistes
appropriationnistes tels que Michael Duchamps et
Andy Warhol, l'utilisation des œuvres que Fleury déplore, de hauts talons jusqu'aux poubelles en or, est subversive, dans la même veine que les œuvres produites par ses deux prédécesseurs.
«There was a while, during the early 2000s or so, when every time I looked at shop windows I thought that the people creating the windows had been flipping through my catalogues and b
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L'utilisation de la commande de l'ordinateur "Oui pour tout" comme motif, l'œuvre de Fleury présente le public avec une dénonciation de la consommation de genre et de l'obsession superficielle avec des produits de luxe. Puisant son inspiration évidente des artistes
appropriationnistes tels que Michael Duchamps et
Andy Warhol, l'utilisation des œuvres que Fleury déplore, de hauts talons jusqu'aux poubelles en or, est subversive, dans la même veine que les œuvres produites par ses deux prédécesseurs.
«There was a while, during the early 2000s or so, when every time I looked at shop windows I thought that the people creating the windows had been flipping through my catalogues and become inspired by my mixing of fashion and art. »
Sylvie Fleury
En trouvant des exemples de cette résidente de Genève qui fait un minimum d'effort, et qui a des œuvres au musée d'art moderne de New York, ainsi que dans le Centre d'Art et des médias à Karlsruhe et au fameux musée d'art Moderne de Salzburg. À 55 ans, les amateurs d'art peuvent attendre beaucoup plus de cette célèbre commentatrice de la culture moderne. Après tout, chez Sylvie Fleury la consommation ne semble pas disparaître de sitôt. (
Artist website)
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